Qu’est-ce que l’oxygénothérapie hyperbare (OHB) ?

L’oxygénothérapie hyperbare consiste à respirer un air plus concentré en oxygène sous une pression atmosphérique plus importante que la normale.

Comment cela fonctionne-t-il ?

Lorsque nous respirons dans notre environnement habituel non pressurisé, l’oxygène pénètre dans l’organisme par les poumons et est transporté vers les organes et tissus par les globules rouges, qui constituent 44% de la composition du sang. Les 56% restants comprennent des plaquettes et des globules blancs (1%) et du plasma sanguin (55%).

Respiré dans un environnement pressurisé, l’oxygène ne va plus seulement être transporté par les globules rouges : il va également se diffuser dans le plasma sanguin. C’est la forme dite dissoute de l’oxygène, forme pénétrant facilement dans nos cellules. Lorsque l’on sait que ce plasma représente à lui seul plus de la moitié de la composition du sang, on comprend aisément que l’organisme va pouvoir bénéficier d’une bien meilleure oxygénation.

Cet apport accru d’oxygène permet au corps de mener à bien des processus intervenants dans la régénération du corps et la guérison de maladies.

Les bénéfices de l’oxygénothérapie hyperbare (OHB) ne sont pas seulement dûs au haut taux d’oxygène, mais également à l’alternance entre hyperoxie (beaucoup d’oxygène) et hypoxie (peu d’oxygène). En effet, lorsque les cellules du corps détectent une hypoxie, elles déclenchent divers processus, tels que la production de davantage de globules rouges (afin d’améliorer l’oxygénation), la création de cellules souches, qui vont intervenir dans la réparation des tissus, et de nouveaux vaisseaux sanguins (angiogenèse).

L’OHB permet de créer une fausse hypoxie (ou « hypoxie relative ») qui va, en quelque sorte, duper les cellules qui vont déclencher ces mécanismes naturels. En effet, le taux d’oxygène au cours d’une séance dans un caisson pressurisé est plus important que le taux que l’on respire dans l’environnement habituel (21%). Au terme d’une séance, les cellules détectent une hypoxie relative, c’est-à-dire un manque d’oxygène par rapport au taux apporté durant la séance, et elles réagissent en conséquence. Ainsi, le corps peut bénéficier des effets positifs de l’hypoxie sans aucun risque puisque cette dernière n’est pas réelle (elle est relative). Cet effet peut encore être augmenté par le retrait périodique du masque à oxygène durant une séance.

Comment cela fonctionne-t-il ?

Lorsque nous respirons dans notre environnement habituel non pressurisé, l’oxygène pénètre dans l’organisme par les poumons et est transporté vers les organes et tissus par les globules rouges, qui constituent 44% de la composition du sang. Les 56% restants comprennent des plaquettes et des globules blancs (1%) et du plasma sanguin (55%).

Respiré dans un environnement pressurisé, l’oxygène ne va plus seulement être transporté par les globules rouges : il va également se diffuser dans le plasma sanguin. C’est la forme dite dissoute de l’oxygène, forme pénétrant facilement dans nos cellules. Lorsque l’on sait que ce plasma représente à lui seul plus de la moitié de la composition du sang, on comprend aisément que l’organisme va pouvoir bénéficier d’une bien meilleure oxygénation.

Cet apport accru d’oxygène permet au corps de mener à bien des processus intervenants dans la régénération du corps et la guérison de maladies.

Les bénéfices de l’oxygénothérapie hyperbare (OHB) ne sont pas seulement dûs au haut taux d’oxygène, mais également à l’alternance entre hyperoxie (beaucoup d’oxygène) et hypoxie (peu d’oxygène). En effet, lorsque les cellules du corps détectent une hypoxie, elles déclenchent divers processus, tels que la production de davantage de globules rouges (afin d’améliorer l’oxygénation), la création de cellules souches, qui vont intervenir dans la réparation des tissus, et de nouveaux vaisseaux sanguins (angiogenèse).

L’OHB permet de créer une fausse hypoxie (ou « hypoxie relative ») qui va, en quelque sorte, duper les cellules qui vont déclencher ces mécanismes naturels. En effet, le taux d’oxygène au cours d’une séance dans un caisson pressurisé est plus important que le taux que l’on respire dans l’environnement habituel (21%). Au terme d’une séance, les cellules détectent une hypoxie relative, c’est-à-dire un manque d’oxygène par rapport au taux apporté durant la séance, et elles réagissent en conséquence. Ainsi, le corps peut bénéficier des effets positifs de l’hypoxie sans aucun risque puisque cette dernière n’est pas réelle (elle est relative). Cet effet peut encore être augmenté par le retrait périodique du masque à oxygène durant une séance.

Santé et Longévité

Outre la création de nouveaux globules rouges, vaisseaux sanguins et cellules souches, l’OHB aide notamment à lutter contre l’inflammation, tant passagère que chronique, à améliorer la circulation sanguine et l’élimination des déchets (détox).

Tous ces processus permettent au corps de se régénérer et de surmonter une multitude de problèmes ou maladies liés à l’inflammation, l’accumulation de toxines ou, tout simplement, au vieillissement.

Ainsi, on peut observer :

  • Une augmentation de l’énergie ;
  • L’amélioration de la mémoire et, plus largement, des facultés intellectuelles ;
  • La diminution de la douleur ;
  • La guérison plus rapide des infections, plaies et fractures

Beauté et bien-être

L’OHB a également de nombreuses applications dans les domaines du bien-être et de la beauté.

Elle contribue à diminuer le stress, un des grands fléaux de notre époque, et à calmer le système nerveux. Elle constitue par ailleurs une aide précieuse dans la détoxification de l’organisme, tant des déchets qu’il produit lui-même que des polluants venant de l’extérieur (métaux lourds, pesticides…)

En favorisant l’oxygénation en profondeur, cette thérapie ralentit les processus de vieillissement physique et cognitif et aide à la reconstitution du collagène, de la peau et des tissus, ce qui en fait une formidable alliée des soins anti-âge.

Beauté et bien-être

L’OHB a également de nombreuses applications dans les domaines du bien-être et de la beauté.

Elle contribue à diminuer le stress, un des grands fléaux de notre époque, et à calmer le système nerveux. Elle constitue par ailleurs une aide précieuse dans la détoxification de l’organisme, tant des déchets qu’il produit lui-même que des polluants venant de l’extérieur (métaux lourds, pesticides…)

En favorisant l’oxygénation en profondeur, cette thérapie ralentit les processus de vieillissement physique et cognitif et aide à la reconstitution du collagène, de la peau et des tissus, ce qui en fait une formidable alliée des soins anti-âge.

Sport

Les professionnels du sport savent que l’OHB est très utile dans leur secteur, nombre de clubs et de sportifs de haut niveau possèdent d’ailleurs leur caisson.

On pense bien sûr en premier lieu aux blessures et fractures que peuvent subir les sportifs et qui guérissent plus rapidement grâce à l’OHB. Mais en-dehors de ces accidents ponctuels, la pratique de l’OHB est également très bénéfique. En effet, elle permet d’accélérer la récupération après l’effort (ou de mieux se préparer à l’effort), de diminuer l’inflammation, la douleur, la fatigue ou encore le surmenage. Puisqu’elle augmente considérablement le taux d’oxygène dans le sang, elle booste les performances.

Les phénomènes déclenchés par l’hypoxie relative évoquée plus haut sont également très intéressants parce que, grâce à la hausse des globules rouges dans le sang et à la meilleure absorption de l’oxygène qui en résulte, le métabolisme musculaire et les fonctions nerveuses s’améliorent.